La présidente de l’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) en France s’est exprimée sur les ondes de Radio France International. Isabelle FALQUE PIERROTIN a dépeint sa vision du jeu de hasard en France. Elle soutient que les opérateurs devraient s’atteler à réduire le nombre de joueurs qui parient gros. Pour leur part, les joueurs doivent jouer pour le plaisir et non pour s’enrichir. Selon l’addictologue et membre du collège de l’ANJ, le jeu de hasard est comparable à une drogue. Selon certains observateurs, la patronne de l’ANJ aurait fait montre d’un profond manque de maîtrise sur le sujet de jeu de hasard. Elle aurait avancé des chiffres qui étaient fortement incohérents. A tout cela s’ajoutent les nombreuses mesures restrictives annoncées, telles que la suppression de la publicité ou encore le renforcement de la surveillance sur les opérateurs.
Isabelle FALQUE PIERROTIN explique sa vision du jeu de hasard sur Radio France
Isabelle FALQUE PIERROTIN, la patronne de l’ANJ (Autorité Nationale des Jeux) en France, présente sur les ondes de Radio France, sa conception du jeu de hasard en France. Une conception qui s’appuie à la fois sur les opérateurs de jeux et sur les joueurs eux-mêmes.
Les premiers doivent changer leur modèle économique. Ils doivent développer des formules pour avoir le plus de joueurs possible, mais qui jouent moins. Les seconds quant à eux ne doivent pas jouer pour s’enrichir. Le jeu de hasard n’est pas conçu pour être un moyen de se faire de l’argent en touchant une grosse fortune ni pour améliorer ses conditions de vie.
Isabelle FALQUE PIERROTIN rappelle que les joueurs doivent jouer pour le plaisir et seulement pour le plaisir. Une telle approche du jeu est pensée également pour limiter les cas d’abus ou de dépendance au jeu. La patronne de l’ANJ veut limiter l’influence du jeu de hasard sur les Français. Pour cela, elle pense à réduire la machine publicitaire du jeu de hasard. Plus exactement, à limiter, voire même à interdire certains spots publicitaires.
Isabelle FALQUE PIERROTIN s’exprime sur France Inter dans un contexte de réforme du jeu en France. La patronne de l’ANJ cible surtout la Française des Jeux, l’opérateur public en France. Selon elle, celui-ci serait devenu un peu trop gigantesque dans le paysage du jeu de hasard en France. La patronne de l’ANJ veut commencer par limiter la taille de ce super géant. Elle compte également par ce moyen peser sur les autres opérateurs afin réduire leur influence sur les joueurs.
Il faut dire que le rôle du régulateur des jeux en France combine entre promotion et régulation du jeu. L’ANJ doit en permanence avoir en vue le niveau de pathologies causées par le jeu. Les acteurs de l’industrie pour leur part doivent jouer un rôle plus inclusif et participatif. A cet effet, le syndicat Casinos de France a récemment désigné son tout nouveau président, Grégory RABUEL. Pour finir, les joueurs sont eux également invités à être plus impliqués en faisant des propositions. Une implication qui éviterait que soit prises des orientations à leur insu.
Jean-Michel COSTES compare le jeu de hasard à une drogue
Le membre du collège de l’Autorité Nationale de Jeux a commis un article où il qualifie le jeu de hasard de drogue du peuple. Jean-Michel COSTES, l’éminent addictologue et premier signataire de la tribune collective « Elargir les jeux d’argent en ligne, c’est encourager une drogue » dresse un tableau plutôt peu reluisant du jeu de hasard.
L’auteur Jean-Michel COSTES fait le rapprochement entre le monde de la drogue et l’industrie du jeu d’argent. A cet effet, il compare les machines à sous à des distributeurs de cocaïne. Selon lui, les joueurs seraient comparables à des adeptes de la consommation de stupéfiants.
Il faut dire ici que le rapprochement entre l’industrie du jeu et le monde de la drogue que présente l’addictologue est n’est vraiment une surprise. Pour ceux qui le suivent depuis des années, l’intéressé a toujours eu la langue bien pendue s’agissant du milieu de la drogue. Jean-Michel COSTES a une bonne connaissance des opiacés pour avoir été membre de l’observatoire des drogues. Institution dont il sera d’ailleurs exclu par le magistrat Etienne APAIRE.
Le magistrat Etienne APAIRE a été Président de la MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) de 2007 à 2012. Depuis 2023, il est le Secrétaire Général du CIPDR (Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation). Ce haut fonctionnaire a viré Jean-Michel COSTES, car ce dernier présentait une certaine appétence pour les salles de shoot. L’auteur avait écrit de nombreuses rubriques qui leur étaient favorables.
L’article de Jean-Michel COSTES fait l’objet d’une critique à caractère provocateur, « Du jeu comme opium du peuple, au jeu comme opium tout court ». Cette critique est rédigée par le sociologue Jean-Pierre G. MARTIGNONI-HUTIN, du Centre Max Weber et publiée dans le Figaro. Le sociologue dresse un portrait de l’ouvrage de Jean-Michel COSTES. Il saisit notamment la façon avec laquelle l’addictologue prend à parti les machines à sous et les casinos pour influencer l’opinion et les politiques.
La Cour des comptes rend son dernier rapport sur les jeux d’argent
L’instance publique chargée du contrôle juridictionnel des comptes de l’Etat rend public son dernier rapport sur les jeux d’argent et de hasard en France. A l’analyse, le document se veut didactique, informé et précis. Les magistrats et auteurs ont tenu à fournir le maximum de précisions dans le rapport afin d’étayer l’opinion sur les effets du jeu de hasard.
Mais la lecture du rapport révèle bien des non-dits. La Cour des comptes semble n’avoir pas pris en compte les millions de joueurs qui sont les principaux financeurs de cette industrie du jeu. Des joueurs qui devraient normalement être informés ou tout au mieux, avoir la possibilité de participer à l’adoption de la politique des jeux de la France.
La politique des jeux de la France ne peut éternellement se faire sur la base de préjugés ou avis de certains personnages, notamment des addictologues ou encore de l’ANJ.
L’ANJ durcit le ton devant les opérateurs de jeux de hasard
L’Autorité Nationale de Jeux, le régulateur français du secteur des jeux de hasard, resserre le ton devant les maisons de jeux. Par le biais de sa patronne, Isabelle FALQUE PIERROTIN, le régulateur français a mis en garde les opérateurs de jeux de hasard. Dans un communiqué, la patronne de l’ANJ donne un délai de trois ans aux différents opérateurs pour exclure de leurs plateformes les joueurs souffrants de pathologies liées au jeu de hasard.
Un peu plus tôt, la patronne de l’ANJ avait évoqué (un peu maladroitement), les chiffres de la doxa du jeu pathologie maladie. Partant de cela, Isabelle FALQUE PIERROTIN a déclaré que le nombre de joueurs excessifs relevant de la pathologie, du suivi par une « consultation d’addiction » et même « d’un traitement psychiatrique ou médicamenteux » est de 400 000 en France.
S’agissant des chiffres de la doxa du jeu pathologie, la maladie évoquée plus haut, il faut noter qu’ils font l’objet de contestations scientifiques et épistémologiques. Ces chiffres s’appuient sur la toxicomanie et le questionnaire du Diagnostic and Statistical Manual of mental disorders (DSM), qui lui-même est assez controversé. Le DSM est un manuel de la psychiatrie américaine, établi par l’American Psychiatric Association (APA).
Le délai de trois ans a particulièrement été donné aux opérateurs tels que le PMU, les clubs de jeu, la FDJ, les jeux en ligne et les casinos. A noter également que les joueurs atteints de pathologies liées au jeu produisent 21 % du PIB de l’industrie du jeu.
La patronne de l’ANJ multiplie les déclarations sur l’addiction au jeu de hasard
Isabelle FALQUE PIERROTIN déclare qu’il y aurait en tout 1,4 million de joueurs problématiques en France. Ce nombre important de joueurs à risque génère à eux seuls pas moins de 38 % du PBJ. De nombreux signaux d’alerte ont déjà tenté de démontrer les risques et les dangers scientifiques de la conception du jeu d’argent comme une problématique de l’addiction. La raison est que, lorsqu’il est conçu comme tel, notamment comme entité morbide individualisée, le jeu de hasard est analysé comme une forme plus ou moins grave de pathologie.
Avant de continuer, il faut noter que le collège de l’ANJ est dominé par des addictologues spécialistes des drogues. Ces spécialistes seraient en conflit les uns avec les autres, car tous exploitent de manière directe ou indirecte le business du jeu compulsif. Parmi les signes d’alerte évoqués plus haut se trouvent les ouvrages tels que « Le jeu excessif est-il vraiment pathologique ? » de Jean-Pierre MARTIGNONI-HUTIN paru en 2011. Ou encore « Le jeu excessif est-il vraiment une addiction ? » du même auteur et publié en 2022.
Tentant maladroitement de justifier ses allégations sur le nombre de joueurs souffrant du jeu compulsif, la patronne de l’ANJ avance sans toutefois rassurer, que l’institution dispose d’indicateurs précis qui fournissent des informations fiables. Celles-ci révèlent que le nombre de joueurs excessifs est en pleine croissance.
Poursuivant de manière incertaine, Isabelle FALQUE PIERROTIN avance que le nombre de joueurs interdits de jeux en France est de 70 000. Une déclaration qui est plutôt irrationnelle, si l’on tient compte de ses déclarations précédentes. Il y a en effet un grand fossé entre le nombre de joueurs excessifs et le nombre d’interdits de jeu. C’est généralement dans cette seconde catégorie que se retrouvent les joueurs excessifs et ceux problématiques.
Plusieurs incohérences surviennent entre différentes indications
Les déclarations de l’ANJ ne sont pas uniformes avec celles d’autres institutions. La patronne de l’ANJ déclare 70 000 interdits de jeux. Ce qui n’est pas tout à fait en accord avec ce que déclare le site officiel data.Gouv. Ce dernier annonce en 2022 qu’il y a en France 46 000 interdits de jeux. Cependant, s’il faut reprendre les chiffres avancés par la patronne de l’ANJ, 70 000 interdits, c’est un chiffre pratiquement insignifiant, compte tenu des plus de 30 millions de joueurs en France.
En comparaison avec les chiffres avancés par la doxa du jeu pathologie maladie et certaines associations parisiennes, le nombre de 70 000 interdits est toujours faible. La doxa indique depuis des années 400 000 joueurs excessifs et 1,4 million de joueurs problématiques.
De telles incohérences trahissent le doute quant aux chiffres avancés par la patronne de l’ANJ. Selon l’addictologue Jean-Pierre MARTIGNONI, la maladie du jeu semble très curieusement chercher ses malades, titre d’un de ses ouvrages qui est paru en 2019. Le même artiste est auteur d’un article paru l’année suivante intitulé « Recherche joueurs addictifs … ». Tous ces articles à caractère interrogatoire suscitent de nombreuses questions quant à la véracité des chiffres avancés par la patronne de l’ANJ.
Où sont les joueurs atteints d’addictions au jeu ? La question reste encore entière, alors qu’ils semblaient bien nombreux, s’il ne fallait s’en tenir qu’aux déclarations d’Isabelle FALQUE PIERROTIN. Si cette dernière a publiquement communiqué des chiffres invraisemblables, tout ceci semble bien curieux. Le flou persiste sur la maîtrise réelle du nombre de joueurs excessifs. D’aucuns parlent ouvertement d’une maladie qui a du mal à trouver ses malades.
Cette situation assez floue jouerait bien à l’avantage de la doxa. Cette dernière peut ainsi se permettre toutes les manipulations à sa guise. Dans un ouvrage scientifique, paru récemment et portant une critique à l’égard du DSM, la doxa affirmait pour mettre à nu la manipulation du DSM, qu’il faut déjà vendre la maladie avant de soigner les malades.
Isabelle FALQUE PIERROTIN veut interdire la publicité dans l’industrie du jeu de hasard
La patronne de l’ANJ annonce vouloir interdire la publicité dans l’industrie du jeu de hasard en France. Il faut dire qu’il ne s’agit pas là d’une première. Le même objectif était annoncé déjà l’année dernière, comme l’a indiqué Jean-Pierre MARTIGNONI-HUTIN dans un article paru en 2023, « Haro contre la publicité pour les jeux d’argent ».
C’est sur les ondes de France Inter, que l’ex-collaboratrice de Jacques TOUBON, jadis ministre de la Culture, a révélé cet objectif. Plus exactement, la patronne de l’ANJ veut limiter, bannir, prohiber, censurer la publicité, pour reprendre ses termes. Mais une telle déclaration frise avec l’ironie, lorsque l’on sait que les grands fonctionnaires de l’Etat ont généralement tendance à retourner leur veste.
Isabelle FALQUE PIERROTIN justifie sa décision en évoquant l’exemple d’autres pays. Elle soutient d’abord que la publicité a un poids non négligeable dans l’industrie du jeu. Alors pour contenir la machine publicitaire des jeux, la patronne de l’ANJ s’appuie sur l’interdiction. Elle cite l’exemple de l’Italie, l’une des plus grandes juridictions de jeux en Europe.
L’interdiction de la publicité s’étend à différents aspects. Elle renferme l’interdiction de la publicité pour les paris sportifs avant match, l’interdiction de la pub pendant et après le match. Il faut également compter l’interdiction de la publicité en ligne.
L’intervention de la patronne de l’ANJ est symbolique en cette période électorale
La prise de parole d’Isabelle FALQUE PIERROTIN est lourde de sens en cette période des élections. La patronne de l’ANJ soulève la question du futur de l’industrie du jeu de hasard en France et de sa politique. Une question qui prend une allure plutôt inquiétante, lorsqu’on s’en tient à la sortie de la patronne de l’institution. Une sortie qui arrive presque à point nommé avec la période électorale.
Il est important durant cette période électorale, d’apprécier la façon avec laquelle les élus se proposent de continuer à diriger la politique des jeux de hasard. Une gestion qui le sait-on déjà, se fait à l’insu des joueurs, qui pourtant sont parmi les plus concernés. Les élections sont assurément une période charnière. Elle met en revue, dans le domaine des jeux de hasard, mais plus ailleurs également, la façon dont les élites manipulent l’opinion des Français. Ils ne les consultent qu’en apparence et vont pratiquement jusqu’à annuler leurs choix par des propagandes alarmistes, des propagandes politiciennes, etc.
Les malices que peuvent mettre en place les politiciens en période électorale sont parfaitement illustrées par l’auteur Jean Marc VITTORI, dans son ouvrage « Chérie, j’ai oublié les électeurs. ».
Les positions de la patronne de l’ANJ révèlent certaines limites dans sa maîtrise du sujet
Isabelle FALQUE PIERROTIN fait manifestement montre d’une certaine limite dans sa maîtrise du secteur des jeux de hasard. Un peu plus tôt, de telles failles avaient déjà été observées par certains observateurs. Ceux-ci s’étaient étonnés de voir la manière avec laquelle la patronne de l’ANJ avait maladroitement commenté le bilan de 2023 des jeux de hasard.
Certains observateurs avaient constaté que la présidente de l’ANJ manipulait aisément les résultats du gambling (jeux d’argent) et de l’eGambling (jeux d’argent en ligne). Isabelle FALQUE PIERROTIN semblait vouloir se persuader elle-même que la politique des jeux sanitaire que mène l’ANJ ne constituait pas un obstacle au développement du jeu de hasard. Elle appuyait son raisonnement sur la bonne santé du marché ludique telle qu’observée l’année dernière.
Pourtant rien de tangible ne semble confirmer les déclarations de la patronne de l’ANJ. D’ailleurs, il y aurait plutôt matière à croire le contraire, selon certains indicateurs qui envoyaient déjà des signaux négatifs en 2023. Tout porte donc à croire que la politique que mène l’ANJ, une politique liberticide, ne sera pas sans effets sur l’économie des jeux. Les conséquences les plus probables devraient logiquement être négatives.
A partir d’ici, il faudrait donc déjà s’attendre à des conséquences telles que la baisse de 25 % du Rapido, la chute du nombre de comptes de joueurs actifs, de l’ordre de -3,9 %. D’autres conséquences sont également à prévoir telles que la baisse du nombre de clients sur euro millions, ou encore la forte chute du nombre de joueurs uniques en paris sportifs en ligne de l’ordre d’environ -7,3 %. Il faudrait également s’attendre au ralentissement de la progression du PMU de l’ordre d’environ +1 %.
A toutes ces conséquences s’ajoutent les 30 % de casinos en crise et qui ne parviennent pas à redécoller malgré la fin du Covid-19, sans oublier la hausse du marché français des jeux de l’ordre de +3,5 %, quand bien même en deçà du marché européen (+5,5 %).
L’économie des jeux de hasard risque d’en prendre un coup
En dépit de sa résilience, l’économie des jeux risque de prendre un coup dur, du fait des nombreuses restrictions qu’annonce la présidente de l’ANJ. C’est donc à tort que cette dernière soutient que les différentes mesures restrictives n’auront pas d’effets sur l’économie des jeux de hasard.
Plusieurs mesures peuvent être citées, notamment des mesures contre les joueurs, contre les opérateurs de jeux, contre les bonus offerts par les opérateurs pour inciter de nouveaux parieurs, contre la publicité pour les jeux ou encore les mesures contre la socialisation ludique primaire familiale.
A force d’instaurer des restrictions, d’adopter un discours propagandiste sur l’addiction, les interdits de jeu, le jeu des mineurs, l’économie des jeux de hasard en France va assurément perdre son élan. L’ANJ manifeste incessamment une volonté ferme de surveiller les opérateurs de jeux, d’interdire, de censurer ou encore de restreindre certains jeux de la Française de jeux (FDJ). Le régulateur démontre également son intention de limiter les plans stratégiques de développement des opérateurs, de réduire l’intensité des pratiques ludiques. L’ANJ ne s’arrête pas là. Le régulateur veut également supprimer les jeux d’argent de l’espace public.
Bien que la présidente de l’ANJ, Isabelle FALQUE PIERROTIN s’obstine à faire croire que ces mesures n’auront pas d’incidents négatifs sur l’économie des jeux, force est de croire que cela semble bien improbable. De telles mesures vont certainement à un moment donné peser lourd sur l’économie. Mais d’ici là, il faut juste attendre de voir quand surviendra le point de rupture.
La sortie de la patronne de l’ANJ traduit une vision incertaine de l’avenir du jeu de hasard en France
L’interview d’Isabelle FALQUE PIERROTIN sur les antennes de France Inter trahit sa vision plutôt floue du futur du jeu de hasard en France. Il ne s’agit nullement d’une sortie pour soutenir l’économie ludique nationale. Cette sortie s’avère des plus inquiétantes, eu égard aux propos tenus par la patronne de l’ANJ.
Des déclarations qui trahissent une avancée sans itinéraire fixe. Une sortie que l’on pourrait qualifier de funambule et qui s’accorde justement avec la non maîtrise exacte des chiffres, notamment du nombre exact d’interdits de jeu ou encore de joueurs excessifs et de joueurs compulsifs.
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