Grâce à ses actions qui viennent en appui au gouvernement dans sa lutte contre les méfaits liés au jeu, TalkBanStop vient d’obtenir une année supplémentaire de financement de l’organe de régulation britannique des jeux. Ce résultat est le fruit d’une phase pilote qui, en une année, a produit des résultats convaincants. Le projet bénéficiera désormais d’assez de financement et pourra s’étendre jusqu’en mars 2023. Cette prolongation est bien accueillie par les organisations qui font partie du projet TalkBanStop, lesquelles ont toutes pour but de prévenir et/ou solutionner les problèmes de jeu.
Le régulateur britannique des jeux renouvelle sa confiance à TalkBanStop
La campagne de partenariat entre Gamban, GamCare et GamStop, plus connue sous le nom de TalkBanStop vient d’obtenir une année supplémentaire de financement. Cette rallonge intervient après que TalkBanStop ait reçu l’approbation de l’Uinted Kingdom Gambling Commission, le régulateur britannique des jeux d’argent. Ce financement additionnel permettra à TalkBanStop de fournir des outils gratuits et un soutien aux personnes victimes des problèmes de jeu. Ce projet sera mis en œuvre jusqu’en mars 2023, après une période pilote initiale de 12 mois.
Les trois organisations à l’origine de ce projet ont déclaré qu’elles chercheront de nouveaux financements à long terme afin de le poursuivre. La campagne TalkBanStop a apporté un appui à plus de 7 000 personnes addictives au jeu. Anna Hemmings, responsable exécutive à GamCare pense que le partenariat TalkBanStop est une initiative bénéfique pour toute personne ayant subi les méfaits du jeu en ligne. C’est aussi selon elle une belle démonstration d’union des forces en vue de tendre la main à ceux qui veulent abandonner le jeu.
Une initiative qui vient en appui à la lutte contre l’addiction au jeu
Depuis la formation du partenariat entre Gamban, GamCare et GamStop, la mise en commun de leurs expertises respectives a été d’une grande utilité. Cette synergie a contribué à créer et offrir des solutions que les gens peuvent utiliser facilement et librement pour amorcer leur rétablissement. D’après les propos d’Anna Hemmings, le retour des personnes qui ont été impactés par leurs interventions est plutôt positifs. C’est la raison pour laquelle il est important que la disponibilité gratuite des trois couches de support ne soit pas interrompue.
La poursuite du projet s’inspirera des réussites accumulées au cours de l’année précédente. Il sera question de poursuivre le travail commun visant à réduire les méfaits en rapport avec le jeu. Les fonds obtenus serviront pour l’obtention des licences de logiciels gratuits de blocage ainsi qu’à l’accentuation du marketing de l’assistance et d’outils pratiques gratuits disponibles. Les autres défis pour les douze prochains mois impliquent aussi la vulgarisation des services de TalkBanStop, le partage des bonnes pratiques et l’enrichissement de l’offre d’accès gratuit aux réseaux d’assistance disponibles.
Une année de plus pour consolider le projet
Avec cette extension d’une année supplémentaire, GamCare, Gamban et GamStop continueront de travailler pour faire connaître la campagne de partenariat auprès de ceux qui en ont le plus besoin. Ces organisations partenaires continueront également à partager les bonnes pratiques entre elles tout en s’efforçant d’améliorer l’offre conjointe d’accès facile et gratuit aux trois services. Une étude sur le partenariat TalkBanStop conduite l’année dernière par Ipsos Mori a révélé que les personnes qui ont fait usage de toutes les couches d’assistance ont rapporté une diminution des effets indésirables du jeu.
TalkBanStop offre de l’assistance et des outils pratiques gratuits aux joueurs. Le programme offre aux joueurs un support direct à travers les conseillers formés de GamCare et un accès libre au logiciel Gamban. Ce logiciel peut être installé sur divers appareils afin de contrôler ou bloquer les plateformes de jeu et faciliter l’inscription au régime d’auto-exclusion Gamstop.
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