Selon les nouvelles, des policiers anversois sont suspectés de voler l’identité de citoyens afin de jouer sur des jeux d’argent en ligne. Cette loi promulgue que les jeux d’argent en ligne sont formellement interdits aux personnes exerçant des métiers en rapport avec la justice.
L’affaire a débuté au sein même de la police belge. En effet, la police a eu quelques doutes en menant leurs petites enquêtes dans le secteur des jeux d’argent en ligne. D’après le média belge Het Nieuwsblad, de nombreux agents auraient récupéré différentes identités dans la base de données nationale pour s’adonner aux paris en ligne. La norme belge est très stricte concernant ces activités, pourtant il y a toujours ceux pour défier la loi. Le porte-parole de la police anversoise Sven Lommaert déclare que la police travaille sérieusement sur ce vol d’identité.
Une affaire typiquement civile à la sanction pénale pour les policiers
Afin de jouer librement dans les casinos, des policiers ont délibérément volé des identités de personnes inconnues pour s’inscrire dans les sites de paris en lignes. Ils pouvaient donc retirer de l’argent liquide en toute impunité grâce aux identités de ces personnes. Les méfaits ne s’arrêtent pas là, car certains d’entre eux ont effectué même des dépôts d’argent pendant les heures de travail. D’autres ne faisaient que remplir leurs heures pour la journée. Durant l’enquête, il s’avère que des policiers pariaient une somme exorbitante selon les dires de Peter Naessens.
Pour un citoyen ordinaire, il est logique de se plier à loi belge. D’ailleurs, suite à l’interview d’Étienne Marique, Président de la Commission des Jeux, si les notaires et huissiers sont touchés par les jeux d’argent en ligne, leurs clients vont mettre en doute leur professionnalisme. Donc, personne ne peut contester la législation de la Belgique. Cependant, sur le territoire belge, il y a énormément de délits de ce genre. Si les forces de l’ordre commencent à enfreindre les règlements, rien ne va plus. Actuellement, ce n’est qu’une affaire interne, mais ce genre de problème pourrait se répandre sur tout le territoire. L’enquête sur cette usurpation d’identité peut même devenir une sanction pénale, annonce Sven Lommaert.
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