Le mercredi 7 février 2024, le Conseil municipal a procédé à l’adoption d’une délibération touchant l’achat de l’ancien cinéma Le Palace par la Ville de Saumur pour un montant à hauteur de 850 000 euros. Au cours de ce processus, Jackie Goulet a donné des précisions sur le prochain calendrier concernant le choix du futur casinotier.
Le nom de l’exploitant connu au mois de juillet prochain
Dans le projet d’implanter un casino, l’achat de l’ancien cinéma Le Palace pour 850 000 euros a obtenu l’approbation du Conseil municipal. Du côté du calendrier, la délégation de service public (DSP) sera publiée le 13 février 2024. En tout, 33 opérateurs en France sont inclus dont les retours des principaux sont très attendus mi-avril. La décision finale aura lieu en juillet avec différentes démarches à effectuer. Parmi elles, il y a les autorisations nécessaires et le dépôt des permis de construire. Toutefois, le maire estime que les travaux se dérouleront pendant un an avec un démarrage début 2025.
En une journée au mois de janvier dernier, Jackie Goulet a fait la rencontre de plusieurs opérateurs de jeu susceptibles de se charger de l’exploitation du futur casino. Grâce aux échanges, les participants ont pu présenter leurs arguments afin de rassurer la collectivité locale. D’ailleurs, la réunion a permis de mieux comprendre les demandes des casinotiers, les besoins des joueurs, les offres sur les jeux ainsi que les divers aménagements du futur casino tels que l’accès ou les parkings.
À la suite de la mise en place d’une loi à l’Assemblée le 5 décembre 2023, les villes classées équestres peuvent installer un casino. Parmi elles, il y a Saumur (Maine-et-Loire) connue pour sa fameuse école d’équitation, le Cadre noir. Le projet apportera certainement des retombées significatives au niveau de l’économie et l’affluence de la commune. Cette proposition de loi a été adoptée en remportant 145 voix contre 48. Jusqu’à maintenant, les stations balnéaires, thermales ou climatiques sont les seules à accueillir un casino. Chez les élus LR et Renaissance du Maine-et-Loire, il était temps de lutter contre cette injustice en ouvrant la voie aux autres communes. L’initiative est désormais devenue concrète en privilégiant les villes équestres.
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