4 opérateurs de jeux de hasard exerçant illégalement en Australie ont été neutralisés par le régulateur australien des communications et des médias : l’ACMA. Ce dernier affirme que cette mesure est a été prise à la suite des nombreuses plaintes des consommateurs nationaux pointant du doigt les 4 opérateurs. En bloquant l’accès à ces 4 plateformes, le régulateur augmente la liste des plateformes de jeux de hasard exclues du pays.
Non-respect de la réglementation et plaintes des joueurs
L’ACMA – Australian Communications and Media Authorithy – a procédé il y a quelques jours au blocage des adresses de plateformes de jeux de hasard en ligne. Cette fois-ci, ils sont au nombre de 4, et ils ont été effectivement identifiés. En effet, les victimes du blocage sont les suivantes : Gibson Casino détenu par l’opérateur Cyberrock Entertainment et basé à Curavao ; Merus Malibu Club Casino du Royaume-Uni ; Gammix STS’s ViggoSlots, et Always Vegas de l’opérateur SSC Entertainment.
Ces 4 plateformes ont été accusées par le régulateur d’avoir violé la réglementation en vigueur. En substance, l’ACMA considère que les 4 opérateurs ont passé outre la loi Interactive Gambling Act. Mais ce n’est pas seulement pour cela. Dans un communiqué du régulateur, l’ACMA précise qu’il a reçu de nombreuses plaintes de la part des consommateurs australiens, contre les accusés.
La liste continue de s’allonger
Avec ces 4 sites supplémentaires qui entrent dans la liste noire du régulateur, le nombre d’opérateurs bloqués monte à 180 depuis novembre 2019. Il y a encore quelques semaines, les opérateurs Dinkum Pokies, et Fortune Clock Casino étaient bannis du territoire australien.
Depuis l’année 2017, c’est environ 300 opérateurs qui ont vu la barrière du marché australien se fermer devant eux. Il faut dire que dans ce pays, n’opèrent que les plateformes ayant reçu une licence. Toutes les autres sont exposées à des opérations spontanées de blocage des accès internet de leur espace. Plus tôt dans l’année, le New South Wales Office of Responsible Gambling (ORG) avait alerté les consommateurs sur ces sites illégaux.
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