La polémique concernant le jeu d’argent continue dans la communauté helvétique. Le parti des « oui » et des « non » en fait les frais depuis quelques mois pour favoriser la votation et remporter le référendum fédéral. Ayant lieu le 10 juin prochain, les deux adversaires se démêlent sur celui-ci. Pour défendre leur cause bien avant que le jour du scrutin arrive. Rien n’est encore décidé.
Les opposants en force plus favorisés que leurs adversaires
Le jour du scrutin arrive à grands pas. Et les pronostics de la votation sont totalement aléatoires. Si les sondages ont abouti à un succès du parti « oui » avec une statistique de 52 %, l’autre groupe semble plus prometteur à l’heure actuelle. En effet, après un second sondage mené par Tamedia sur ce sujet révèle que, le plus probable est que le « non » sera élu à 53 %. Cela est sans doute à cause de bien des facteurs.
Tout d’abord, car le PLR et le PBD ont également changé de stratégie. Les deux rejoignent l’association des « non » ainsi que d’autres groupes également. Cette nouvelle loi vise à ce que les opérateurs en ligne étrangers ne puissent plus proposer leur gamme aux nationaux de Suisse. Pourtant, les bloqués seraient un leurre. Cela favorisera au contraire, le développement du marché noir. De plus, cette interdiction remet en question la protection des joueurs dépourvue de toute sécurité sur les casinos virtuels, avance encore la partie contre. L’AVS/AI, ainsi que pour l’organisation de différentes activités sportive, culturelle et d’autre encore. Par contre, plus de 250 millions de francs circulent sur les opérateurs en ligne, non surtaxés et en plus illégaux dans le pays. Cela dit, pour eux, cesser ce marché permettra de lutter contre des blanchiments d’argent, et d’autres, plus néfastes.
Les parties du « oui » pourront perdre bientôt la face
De leurs côtés, étant donné le changement de camp des jeunesses du PLR et du PBD ainsi que les jeunes Verts, seuls le PDC et le PS sont les comités du « oui » dans cette affaire. Pour eux, le secteur des casinos, Paris sportif et de loteries génèrent plus de 1 milliard de francs sur différent secteur. Pour soutenir leurs arguments, la partie qui est avec la loi investie environ 1 000 000 de francs pour leur propagande. Les opposants eux n’ont réservé qu’une somme de 20 000 francs pour ses propagandes. Les deux groupes sont donc très différents. Reste à savoir, lequel remportera cette votation ? Mais d’après les estimations, les partis « oui » pourraient bien perdre. Affaire à suivre.
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