Après l’aval du parlement sur la privatisation de la Française des Jeux, plusieurs opérateurs se disputent les grâces de la FDJ. Selon les sources recueillies, le gouvernement francophone se penche vers la société de la loterie londonienne Camelot. Faisons le point sur cette actualité.
Le futur détenteur de la Française des Jeux
L’entreprise francophone de la loterie est très convoitée par les investisseurs. En effet, la FDJ détient le monopole de chiffre d’affaires de l’hexagone. En 2016, elle a réalisé 14,3 milliards d’euros de recette. De plus, sa notoriété dépasse tout entendement. D’après ce qu’a révélé le quotidien britannique Evening Standard, le gouvernement Macron aurait choisi Camelot pour gérer la FDJ. Cette firme aurait proposé une offre de consortium de 1,3 milliard de livres sterling, soit 1,5 milliard d’euros. Par ailleurs, leur choix a été facilité par sa nationalité canadienne et son affinité avec les jeux de loterie. Néanmoins, Camelot ne sera pas le seul dirigeant de la FDJ. En vérité, l’État a suggéré que la société de médias française TF1 soit son associé. Par ailleurs, le président Emmanuel Macron a soumis ses préférences pour les sociétés britanniques ou bien canadiennes aux entreprises chinoises. Selon ses dires, une coopération avec un groupe anglo-canadien est d’autant plus rentable qu’une vente auprès des Chinois.
La Française des Jeux sera entre les mains de Camelot et de TF1
En parlant de Camelot, c’est une entreprise siégeant en Angleterre et classée parmi les meilleurs dans le monde de la loterie nationale. Racheté en 2010 par le Régime de Retraite des Enseignantes et des Enseignants de l’Ontario, Camelot a obtenu la nationalité canadienne. D’ailleurs, c’est l’une des raisons pour laquelle elle a été élue par la majorité du gouvernement Macron. En somme, Camelot ainsi que TF1 sont prompt à un investissement de l’ordre de 1,5 milliard d’euros en faveur de la FDJ. Quant à la part de revenus du gouvernement français, elle diminue. Au lieu de 72 %, elle s’estime de 20 à 22 %. Apparemment, le président aspire à un renouveau pour la France au regard des fonds d’innovations.
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