Les autorités françaises ont récemment démantelé un vaste réseau de machines à sous clandestines en Seine-Saint-Denis. Six individus, appartenant à la communauté turque, ont été interpellés et 13 machines à sous dissimulées dans divers bars ont été saisies, a indiqué Stéphane Piallat, chef du Service Central des Courses et des Jeux (SCCJ) de la police nationale. Deux établissements situés à Bondy et Coubron, d’une valeur totale de 840 000 euros, ont également été saisis par la justice. Par ailleurs, un des suspects détenait 9 500 euros en cryptomonnaies, somme qui a été saisie par les autorités. Ces bornes électroniques illégales, sous la forme de gros cubes noirs avec un écran central, arnaquent les joueurs en offrant un taux de réussite d’environ 30 %, comparé aux 85 % des machines légales dans les casinos. Stéphane Piallat a souligné que ces machines peuvent rapporter jusqu’à 2 000 euros par semaine aux propriétaires des bars. En France, seuls les casinos, contrôlés par le ministère de l’Intérieur, sont autorisés à exploiter des machines à sous et les machines à sous en ligne sont totalement interdites. Les six suspects seront jugés prochainement à Bobigny, alors que les autorités continuent d’évaluer l’ampleur du préjudice causé par ce réseau illégal.
Un réseau de machines à sous clandestines vient d’être démantelé en Seine-Saint-Denis
Une vaste opération policière permet de démanteler un réseau de machines à sous clandestines en Seine-Saint-Denis. Six individus, tous issus de la communauté turque, ont été interpellés. Les forces de l’ordre ont saisi 13 machines à sous dissimulées dans divers bars, a déclaré Stéphane Piallat, chef du Service Central des Courses et des Jeux de la police nationale (SCCJ).
Ces machines à sous clandestines, présentées sous la forme de gros cubes noirs avec un écran central, sont totalement illégales. Elles offrent aux joueurs des chances de gain extrêmement faibles, avec un taux de réussite d’environ 30 %, contre environ 85 % pour les machines à sous légales dans les casinos. Stéphane Piallat précise que ces appareils peuvent rapporter jusqu’à 2 000 euros par semaine aux propriétaires des bars.
Ce démantèlement confirme une tendance inquiétante : l’installation de machines à sous clandestines dans les bars est en recrudescence. En France, les jeux d’argent et de hasard sont strictement réglementés, et seuls les casinos sont autorisés à exploiter des machines à sous sous la surveillance du ministère de l’Intérieur. Les machines à sous en ligne, quant à elles, sont totalement interdites. Les six suspects arrêtés seront prochainement jugés à Bobigny. Les autorités continuent d’évaluer l’étendue du préjudice causé par ce réseau illégal.
Deux établissements fermés par la justice
Deux établissements situés à Bondy et Coubron ont été saisis par la justice, suite à la découverte de leur implication dans un réseau de machines à sous clandestines. La valeur totale de ces saisies s’élève à 840 000 euros, selon Stéphane Piallat, chef du Service Central des Courses et des Jeux de la police nationale (SCCJ). En outre, un des suspects détenait 9 500 euros en cryptomonnaies, une somme également confisquée par les autorités. Cette opération marque une étape importante dans la lutte contre les jeux d’argent illégaux en France, où seules les machines à sous des casinos, sous contrôle du ministère de l’Intérieur, sont autorisées.
Des machines à sous très lucratives pour les propriétaires
Les machines à sous clandestines saisies lors de cette opération étaient très lucratives pour les propriétaires des bars. Présentées sous la forme de gros cubes noirs avec un écran central, ces bornes électroniques totalement illégales arnaquent les joueurs, avec un taux de réussite d’environ 30 %.
En comparaison, les machines à sous légales dans les casinos, qui sont contrôlées par le ministère de l’Intérieur, offrent un taux de réussite d’au moins 85 %, et peuvent même atteindre 92 % en pratique, selon Stéphane Piallat. Cette faible probabilité de gain n’empêche pas les propriétaires de ces machines de réaliser des profits considérables, pouvant atteindre jusqu’à 2 000 euros par semaine par machine. Cette manne financière facile attire de nombreux exploitants illégaux, contribuant ainsi à la prolifération de ces appareils frauduleux dans les bars.
Une tendance inquiétante de machines à sous clandestines
La prolifération des machines à sous clandestines dans les bars en France est en forte augmentation, un phénomène alarmant pour les autorités. Stéphane Piallat, chef du Service Central des Courses et des Jeux (SCCJ) de la police nationale, souligne que ces installations illégales représentent un moyen facile pour les propriétaires de bars de générer des revenus substantiels, jusqu’à 2 000 euros par semaine.
Ces machines, dissimulées sous la forme de gros cubes noirs avec un écran central, arnaquent les joueurs avec un taux de réussite d’environ 30 %. Ce qui est nettement inférieur aux taux de réussite des machines à sous légales des casinos, qui atteignent environ 85 %. En France, la réglementation des jeux d’argent et de hasard est très stricte. Seuls les casinos, sous le contrôle du ministère de l’Intérieur, peuvent exploiter des machines à sous. Les machines à sous en ligne sont totalement interdites, rappelle Stéphane Piallat.
Malgré ces interdictions, le démantèlement récent du réseau en Seine-Saint-Denis, qui a abouti à la saisie de 13 machines et à l’arrestation de six individus, montre que ce phénomène est en recrudescence. Les autorités continuent de surveiller activement ce type d’activités illégales pour protéger les consommateurs et garantir le respect de la loi. Les sanctions sont sévères pour les contrevenants, comme en témoigne la saisie de deux établissements à Bondy et Coubron.
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