La Société Française de Casino (SFC) est en train de changer de propriétaire pour donner suite à des accords passés entre la firme et l’une des entreprises appartenant au groupe Gaming1, une branche d’Ardent. Il s’agit de Circus Casino France qui prévoit de racheter la majeure partie du capital.
Des démarches déjà en préparation
Selon les informations récentes, la signature des accords a déjà été réalisée entre les deux principales parties. Cela concerne notamment l’acquisition de 50,05 % du capital, des droits de vote de SFC auprès de Frameliris à hauteur de 37,05 % et 13 % de Foch Investissements. La cession se déroulera en dehors du marché actuel affichant un coût de 1,44 euro par action. Ce processus sera effectif une fois que l’autorisation du ministre de l’Intérieur sera obtenue.
La concrétisation de ces cessions permet à Circus Casino France de prendre le contrôle de la Société Française de Casinos. D’après la législation en vigueur, ce dernier détiendrait un projet d’offre publique d’achat simplifiée en proposant un prix de 1,44 euro par action. L’achat porte sur l’intégralité des actions SFC disponibles qui ne sont pas gérées par le Club. Pour ce faire, celui-ci a mandaté Portzamparc en tant que présentateur de l’offre en question. Afin d’examiner les différentes formalités financières de l’offre publique, le conseil d’Administration de la SFC prévoit de nommer un agent indépendant spécialisé dans ce type de prestation. Dans tous les cas, le dépôt de l’offre publique aura lieu au cours de l’année 2020. En ces termes, Circus Casino France n’aura nullement l’intention de réclamer le retrait obligatoire des actions de SFC dans le cadre de cette proposition. De son côté, la SFC a demandé la suspension de la cotation de son titre le 30 décembre 2019. D’ailleurs, l’entreprise a sollicité Euronext Paris pour la reprise de cette cotation à l’ouverture de la bourse de Paris le 2 janvier prochain.
La Société Française de Casino a déjà informé ses actionnaires sur les perspectives d’achat de la firme Circus Casino France. Les contrats de cession ont déjà été signés dans le but d’acquérir et contrôler au moins 50,05 % du capital. Un changement de gestion qui consent à maintenir une croissance constante et progressive dans le secteur du divertissement et des loisirs.
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