L’opérateur emblématique du secteur des jeux d’argent en Nouvelle-Zélande, SkyCity Entertainment Group Limited, vient encore d’être fermé. Cela est temporaire certes, mais il est fermé quand même. Après que l’enseigne a dû fermer ses portes durant le mois de mars dernier, et ce jusqu’à la levée des mesures de confinement, SkyCity Auckland se retrouve encore à devoir mettre la clé sous le paillasson, tout juste quelques jours après qu’on ait découvert quatre nouveaux cas inattendus de COVID-19. Les cas seraient même potentiellement mortels.
Une réponse à une potentielle résurgence du virus
Depuis près de 3 mois et demi, aucun nouveau cas n’avait été signalé en Nouvelle-Zélande, et le pays semblait avoir combattu efficacement la pandémie liée au Coronavirus qui sévit actuellement. Les autorités du pays avaient même de nouveau autorisé les rassemblements publics et la réouverture des espaces publics.
Pourtant, le virus semble encore avoir gagné du terrain en Nouvelle-Zélande, puisque de nouveaux cas ont été déclarés dans le pays. Cela a contraint le gouvernement à placer la grande ville d’Auckland dans un confinement partiel de 3 jours au moins.
C’est ainsi que de nombreuses entreprises de la ville ont dû fermer, notamment les restaurants, les bars, mais aussi les salles de jeux et les casinos, puisque les rassemblements de plus de 10 personnes et les déplacements non essentiels étaient prohibés.
Dans la foulée, SkyCity Entertainment Group Ltd a annoncé via un communiqué que toutes les offres de jeu et de divertissement que propose sa succursale SkyCity Auckland seraient fermées jusqu’à nouvel ordre. Le groupe, coté à la bourse de Wellington et de Sydney, a cependant précisé que les deux hôtels ne seront pas fermés et resteraient ouverts pour les clients des lieux.
Des mesures préventives largement suivies
Les mesures gouvernementales ont été respectées, et c’est d’ailleurs à cet effet que Graeme Stephens le PDG du groupe SkyCity proclamait que l’ouverture de ses hôtels à Hamilton et Queenstown se ferait dans le strict respect des mesures barrières, à savoir la distanciation physique et la mise en place d’un dispositif d’hygiène rigoureux.
Il a également précisé que sa structure est assez solide financièrement pour faire face à ces nouvelles exigences sanitaires des autorités néo-zélandaises, surtout qu’elles ne sont que temporaires.
Laisser un commentaire