Le président de la Chambre, Dade Phelan, veut voir des casinos de destination construits au Texas. Selon lui, ce seront des destinations de haute qualité qui créent des emplois et qui améliorent le mode de vie de ces communautés. Deux sessions parlementaires autour du sujet ont été sans suite. La troisième s’est bien terminée au point où une première place est déjà prête à accueillir le premier casino complexe.
Dade Phelan souhaite installer des complexes hôteliers avec casinos contrôlés
Le président de la Chambre du Texas, Dade Phelan, était prêt à considérer les casinos de style Resort comme une solution aux problèmes de jeu de l’État. Dans une brève conversation avec des journalistes jeudi, il a déclaré qu’il pensait que les électeurs soutiendraient l’amendement constitutionnel nécessaire pour légaliser le jeu.
Phelan a déclaré que s’il ne voulait pas que le jeu soit diffusé sans limites, il le soutiendrait de manière limitée. Il veut voir des complexes de grande qualité, créant des emplois et améliorant le mode de vie de ces communautés. Ces stations de casinos sont considérées comme ayant des terrains de golf, des hôtels et des salles de concert. Tous ces éléments sont des « contributeurs économiques importants » pour les caisses de l’État.
Cependant, les tentatives d’expansion du jeu de casino au Texas dans le passé ont échoué lors de réunions récentes. Dade Phelan, malgré ces refus, n’est pas disposé à abandonner ses idées. De plus, l’industrie se prépare maintenant à un effort renouvelé pour amener le jeu sur l’un des derniers marchés importants inexploités aux États-Unis. L’approbation de Phelan à son égard peut être considérée comme un développement positif, mais d’autres dirigeants ont été moins enthousiastes.
Les nouvelles déclarations de Phelan sont conformes à la position actuelle du gouverneur Abbott. Alors qu’il était auparavant un adversaire hostile, il a déclaré à l’automne qu’il envisagerait d’élargir la proposition de jeux de casino. Sa conception du jeu au Texas reflète celle du président de la Chambre. La belle preuve, il déclare qu’il ne voudrait pas de machines à sous à tous les coins de rue, mais serait prêt à privilégier une forme de divertissement très professionnelle pour les Texans.
Plusieurs grandes têtes soutiennent l’idée de Dade Phelan
Avec le temps, et au cours des dernières sessions parlementaires, Dade Phelan a reçu plusieurs soutiens, promettant ainsi une réalisation effective de son projet. En effet, lors des dernières discussions, le représentant de Las Vegas Sands, le géant du jeu, a déclaré que Dallas-Fort Worth serait le principal emplacement pour un casino si le jeu était légal au Texas. La forte industrie des congrès et du tourisme de la région et la proximité des aéroports rendraient ce lieu idéal pour le projet.
De plus, Mark Cuban, le propriétaire des Mavericks, a récemment déclaré au Dallas Morning News que son objectif était de s’associer aux Las Vegas Sands pour construire une nouvelle arène au milieu d’un hôtel et d’un casino.
Selon les documents déposés auprès de la Commission d’éthique du Texas, l’équipe Sands, l’une des nombreuses à promouvoir la sortie de l’extension cette année a déjà recruté 35 lobbyistes avec un énorme prix pouvant atteindre 2,7 millions de dollars.
Par ailleurs, une poussée pour légaliser les paris sportifs est également en cours. Pour cela, le sénateur Carol Alvarado présente un projet de loi qui légalisait également les jeux de casino. De plus, il accorderait une licence à quatre casinos dans les grandes villes du Texas pour créer « la Texas Gaming Commission ».
Comme documenté par Khou 11, Alvarado a déclaré que les encouragements de Phelan l’avaient inspirée et qu’elle prévoyait de collaborer avec des membres des deux chambres pour défendre SJR-17 à l’Assemblée législative du Texas et lors des élections de novembre.
Pour augmenter le nombre de types de jeu, les deux tiers des membres de la Chambre et du Sénat doivent approuver la proposition. Ensuite, cette dernière doit être votée par les électeurs du Texas lors d’une élection d’amendement constitutionnel. Pour cela, les législateurs sont tenus de présenter des projets de loi à la Chambre début mars.
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