Depuis le confinement, les parieurs français sont nombreux à jouer sur la plateforme en ligne de la Française des jeux. D’ailleurs, l’opérateur propose aux internautes une variété d’options de divertissement. Parmi elles, les jeux de grattage et de tirage sont toujours aussi populaires chez les buralistes. De plus, les clients peuvent s’en procurer sur le site sans se déplacer.
La FDJ mise sur la diversité
En période de crise, la Française des jeux a pris ses dispositions afin de satisfaire sa clientèle. Il est désormais possible d’acheter des tickets sur le site officiel de l’opérateur. Les utilisateurs auront le choix entre le fameux Loto, l’Euro Millions ou encore les cartes à gratter comme le Crash ou le Millionnaire. En étant confiné chez soi, l’engouement pour les jeux en ligne est devenu une tendance attirant de nouveaux joueurs. Le site en ligne facilite l’accès aux services et à la ludothèque avec des conditions d’utilisation semblables qu’aux kiosques classiques. Grâce à ce système, la FDJ fournit des applications mobiles aidant les joueurs à effectuer des mises à n’importe quel moment.
La FDJ parie sur le numérique pour maintenir ses activités et ses revenus durant cette crise sanitaire. En vue d’être toujours au-devant de la scène, l’opérateur inclut des nouveautés et des jeux exclusifs accessibles uniquement sur son site. La plupart des jeux se veulent originaux comme les softs Salsa Explosion, Mine d’Or, l’Or des Corsaires ou les trois Gongs. Du côté des offres promotionnelles, les joueurs profitent de formules limitées disponibles sur les applications. Ces promotions sont variées et devraient sûrement intéresser un grand nombre d’utilisateurs.
Même si les jeux en ligne rencontrent une telle réussite, la FDJ a déclaré que les pertes sont conséquentes à cause de la situation actuelle. Selon les informations recueillies, l’opérateur estime perdre 50 % de son chiffre d’affaires durant ce confinement. La fermeture des PMU a incité la suspension du jeu Amigo. Il faut savoir que celui-ci génère près de 17 millions d’euros, hautement élevé par rapport aux autres produits. Du côté des points de vente, 80 % d’entre eux restent ouverts grâce aux autorisations du gouvernement. Toutefois, les achats diminuent résultant une baisse de fréquentation chez les buralistes et les marchands de la presse. Par conséquent, l’entreprise a enregistré un déficit d’environ 55 millions d’euros chaque mois, soit la moitié du chiffre d’affaires.
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