Lors de sa comparution devant les tribunaux le mercredi 22 novembre, une femme a pris 4 mois de prison avec sursis pour escroquerie. Elle a dépensé plus de 3 200 euros dans deux casinos de Saint-Brevin-les-Pins et Pornichet. L’affaire s’est déroulée en septembre 2012 lorsque cette dernière décide d’utiliser des chèques en bois au moment du paiement.
Une arnaque à répétition
La principale concernée a été condamnée par la justice en ayant signé, au total, huit chèques en bois dans les deux établissements cités précédemment. Elle ne s’est pas rendue à son jugement, une preuve que cette dernière ne savait nullement les risques encourus. Dans ses anciennes déclarations, la prévenue prétend avoir égaré son chéquier alors que dans la même foulée, elle a déjà signé huit chèques au sein des maisons de jeu. Durant l’enquête, elle a été entendue et donne des explications sur les raisons de son acte. En cause ? L’addiction au jeu qui reste une dépendance vécue en famille précise-t-elle. Selon ses dires, son seul centre d’intérêt s’avère être le poker.
Apparemment, l’intéressée n’est pas à son coup d’essai puisqu’elle a déjà fait parler d’elle l’an dernier. On parle d’usage de stupéfiants et autres délits sans oublier sa responsabilité en étant maman d’une petite fille. En effet, elle est suivie par le juge des enfants, précise la présidence du tribunal correctionnel de Nantes. Au final, la juge tient compte des réquisitions du procureur de la République en réclamant quatre mois de prison avec sursis et une amende de 500 €.
Malheureusement, ce genre de mésaventure arrive fréquemment surtout dans le secteur des jeux d’argent. C’est devenu une pratique courante et certaines personnes n’hésitent nullement à dépasser les limites. D’une manière générale, chaque casino possède une politique bien précise et privilégie la sécurité. Toutefois, quelques chanceux parviennent à échapper aux mailles du filet. À Las Vegas, par exemple, le montant des crédits non remboursables augmente constamment.
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