Afin de lutter contre les dommages liés au jeu, le Betting and Gaming Council annonce son soutien au déploiement d’une taxe obligatoire visant à financer des programmes de recherche, d’éducation et de traitement. L’organisme se félicite de cette décision si elle reste indépendante et protège les exploitants terrestres.
Implication volontaire de nombreux opérateurs
Lors de ces 20 dernières années, le marché des jeux et des paris réglementés a effectué des dons de plusieurs millions dans le cadre du financement des services RET. Le processus s’effectue à l’aide d’une taxe volontaire unique réalisée par les différents opérateurs actifs. Aujourd’hui, la plupart d’entre eux renforcent leur contribution dans le but de limiter au maximum les dégâts causés par le jeu problématique. La liste se compose notamment des marques comme bet365, GVC désormais Entain, Paddy Power, William Hill, Sky Betting and Gaming et Betfair.
Au sein de la BGC, cinq membres importants ont promis d’investir 100 millions de livres sterling au profit des organisations caritatives indépendantes. Ces associations se chargent près de 85 % de tous les joueurs souffrant de jeu compulsif qui reçoivent un traitement spécifique sur le territoire britannique.
Selon le PDG de BGC, Michael Dugher, il faut établir un financement durable et constant à condition de prendre en compte les besoins et les pressions subies par les opérateurs terrestres. Le responsable estime que les fonds doivent être répartis de façon équitable et entièrement indépendante. Dans tous les cas, l’argent sera géré par l’association GambleAware d’ici le mois de mars 2024. De toute manière, les donations RET ne seront destinées qu’à des organisations indépendantes accréditées par la Commission des jeux de hasard.
Depuis toujours, les membres les plus influents effectuent déjà un paiement de 1 % afin de financer ces services de recherche à l’aide d’une méthode indépendante. Longtemps, le BGC et ses membres s’efforcent d’apporter des financements essentiels aux organisations caritatives. La Commission des jeux de hasard basée au Royaume-Uni reconnaît qu’elles réalisent un travail essentiel pour des résultats concrets en se focalisant sur des données précises. Le dirigeant du BGC est certain que ce type financement devrait perdurer avec l’approbation de plusieurs marques de l’industrie.
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