L’Italie connait un pic de croissance dans son marché des jeux en ligne

L’Italie est à l’heure actuelle l’un des meilleurs marchés de jeux en ligne dans l’industrie européenne. Ce dernier connaît une ascension fulgurante durant le mois de mars 2018. Avec l’effort de légalisation de certains jeux d’argent, l’Italie est bien partie.

Cela débute avec les paris sportifs qui commencent à prendre de l’ampleur chez les adeptes italiens. Ils ont obtenu un chiffre d’affaires de 51,3 millions d’euros. Un chiffre tout de même exorbitant qui, d’un point de vue annuel à augmenter de 82,4 %.

Parmi les opérateurs, trois d’entre eux tiennent les règnes de l’industrie. Bet365 est en tête de liste. À lui seul, il regroupe les 16,3 % de ce taux. Les autres opérateurs (Planetwin365, EuroBet, Snaitech) se bousculent derrière cet opérateur.

Cependant, les casinos en ligne ne restent pas simples spectateurs dans ce marché. Ce sont eux qui tirent le plus davantage. Ces plateformes devancent même les paris sportifs. Ils ont obtenu un résultat très satisfaisant avec 60,6 millions d’euros. C’est d’ailleurs, ces palaces de jeux virtuels qui ont marqué le nouveau record des jeux d’argent italiens. Notamment, les plateformes de Pokerstars sont les plus dominants du marché en tenant un taux de 9,3 %. Les opérateurs comme EuroBet, 888 Holdings, Sisal et Lottomatica se positionnent également dans l’industrie.

La limitation des publicités

L’Italie est en plein essor concernant les jeux d’argent et l’administration se doit de régler les publicités émises. Après les casinos belges, ce sont les casinos en ligne italiens qui peuvent être victimes d’une nouvelle réforme. En effet, l’administration envisage une nouvelle législation à propos des spots publicitaires. Ainsi, le gouvernement tend à restreindre ces courts-métrages pendant la journée. L’État veut faire en sorte de diminuer ces publicités sur leur télévision afin de promouvoir la retransmission des compétitions sportives. Surtout le football, étant donné l’arrivée de la coupe du monde. Néanmoins, cela reste juste une supposition. L’État n’a rien décidé pour le moment.