Depuis plusieurs années, le Nevada est considéré comme une juridiction propice au développement des jeux en ligne et des paris sportifs terrestres. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de fournisseurs désirent y être présents. Dernièrement, c’est le fournisseur britannique FSB Technology Limited qui a reçu une approbation de l’organisme de contrôle et de régulation des jeux. Désormais, le fournisseur peut proposer ses services d’information ainsi que son bookmaker aux opérateurs partenaires dans le Nevada.
La FSB a été votée à l’unanimité par les membres de la NGCB
La Nevada Gaming Control Board (NGCB) est l’organisme de contrôle et de régulation du secteur des jeux d’argent et de hasard au Nevada. Il y a quelques jours de cela, l’organisme a approuvé la FSB Technology Limited via une licence de fabricant et de fournisseur de services d’information. Désormais, la société pourra donc proposer ses produits sur ce nouveau marché.
Dans un communiqué de presse faite par la société, les membres de la NGCB ont voté à l’unanimité pour l’octroi de la licence ce qui marque ses débuts dans le nouvel Etat et son évolution en Amérique du nord. La société qui est basée à Londres propose un large éventail de sports y compris les services de paris sportifs.
Dans son communiqué de presse, la société a précisé qu’en plus de la licence de la Gambling Commission, elle est également présente dans quatre continents. À présent, elle est impatiente de pouvoir profiter des opportunités commerciales qu’offre le Nevada conformément au PAPSA qui avait été révoqué en 2018 par la Cour suprême.
FSB Technology Limited a ajouté qu’il compte mettre à la disposition des opérateurs partenaires son bookmaker exclusif ceci dans le but de les aider à améliorer l’expérience de paris sportifs de leur base de joueurs. On peut donc s’attendre à des innovations dans les prochains mois.
Le Nevada, un État stratégique clé pour le déploiement des activités de la FSB
Pour une entreprise qui souhaite étendre son empreinte dans l’industrie des jeux, il est tout à fait probable que la FSB Technology Limited demande une autorisation pour exercer au Nevada. Cet État est une destination clé pour le fournisseur qui comptait d’ailleurs exploiter au maximum sa licence et bien évidemment dans le respect de la loi en vigueur.
Pour rappel, le Nevada est l’un des premiers États à proposer les paris sportifs et les jeux de hasard. Au cours du mois de juin dernier, cet État a accumulé un montant de 490,4 millions de dollars de revenu brut, et ce uniquement sur les paris sportifs. Au mois de mai toujours de cette année, le Nevada enregistrait 562 millions de dollars de revenus de jeu.
À la suite de leur approbation, Dave McDowell qui est le président directeur général de la FSB Technology Limited a déclaré que leur ambition est de s’inscrire dans l’histoire des paris sportifs du Nevada en particulier et en Amérique du Nord de manière générale. Pour lui leur dernière approbation prouve à quel point ils sont décidés à atteindre leur objectif.
Étant donné que le Nevada est une juridiction clé, le président directeur général a déclaré qu’il leur était impossible de ne pas y être présent. Il a continué ses propos en disant que leur extension est un gage de la qualité des services fournis par la société qui l’emploie. Parallèlement, Ian Freeman qui est le directeur des revenus de FSB Technoogy Limited a lui aussi émis un avis quant à la nouvelle licence obtenue.
C’est ainsi qu’il est revenu sur le fait que le Nevada est une juridiction favorable au développement des paris sportifs en ligne et des jeux terrestres. C’est entre autres pour cette raison qu’ils n’ont pas hésité une seule fois à demander à y être autorisé.
Freeman tenait à exprimer leur gratitude et leur reconnaissance au Nevada Gaming Control Board pour le temps et l’attention consacrés à leur demande. Il s’agit d’un grand pas en avant pour la société qui compte tout faire pour atteindre ses objectifs commerciaux. Le Nevada au cours de l’année dernière a accumulé 445 millions de dollars de revenus combinés, tandis que les États de l’Amérique du Nord affichaient un montant de 8,2 milliards de dollars.
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