En Inde, un homme du nom de Shah a accumulé des dettes après de multiples paris avec un individu. Dans un ultime élan visant à rembourser ces dettes, Shah a parié sa femme… et l’a perdu ! Face à l’insoumission de sa femme (son refus de rejoindre le vainqueur), il l’a roué de coups. Celle-ci porte plainte contre son mari et disparaît juste après.
Un acte « insensé »
Il peut arriver qu’une séance de pari prenne une allure particulière. En effet, il arrive souvent que le parieur devienne lui-même insolvable. Les choses s’aggravent lorsque le pari se déroule entre deux individus privés et ce scénario était déjà arrivé en Inde l’année dernière avec un père qui a misé son enfant.
Toujours en Inde, cette fois c’est l’expérience particulière qu’a vécue madame Chanda Devi, la femme d’un parieur. La scène se déroule au lieu-dit Banka, dans la ville de Bihar, le 11 novembre. Un homme du nom de Binod Kumar Shah a passé beaucoup de temps dans les affaires de paris. Il y en a passé tellement, qu’il a vécu un phénomène qui fut fréquent dans les pays comme le Royaume-Uni. Monsieur Shah a misé plus que ce qu’il possédait, et s’est retrouvé enlisé dans une marre de dettes.
Le poids des dettes accumulées par monsieur Shah était tellement critique, que ce dernier a posé un acte considéré comme insensé. À la stupéfaction d’une certaine opinion, monsieur Shah a procédé à un pari dont la mise n’était donc nulle autre que sa femme Chanda Devi. Qui sait, peut-être était-il sûr de remporter le pari, mais, au final, il l’a perdu.
Alors, rentré de sa séance de pari infructueux, Shah n’a pas eu d’autre choix que d’avouer son acte. Devi, qui n’était évidemment pas au courant, a probablement été décontenancée lorsqu’elle a appris la nouvelle. Il était alors question pour cette dernière d’accepter la réalité de monsieur Kumar Shah, son mari. Ce dernier lui a fait comprendre, à son retour à la maison vers minuit passé, qu’elle doit se préparer à partir rejoindre le créancier qui a gagné contre lui.
Elle refuse de rejoindre le vainqueur
La deuxième partie de l’histoire est tout aussi troublante. En effet, au lendemain matin du pari humain, M. Binod Kumar Shah a dû réagir contre sa femme. Face au refus manifeste de cette dernière d’aller vers un homme qu’elle ne connait aucunement, Shah s’est vu obliger de lui faire passer un quart d’heure d’agression physique. Il semble que pour ce dernier, ce refus s’apparentait à l’expression du mépris.
En réalité, un pari effectué dans une machine à sous d’un établissement ou un site de jeu de hasard certifié n’a pas les mêmes effets qu’un pari entre deux particuliers. Dans ces genres de paris (dans un établissement ou sur un site de jeu), l’individu a toujours la capacité de se plaindre. De plus, ce sont des espaces soumis à des réglementations. De gré à gré, entre individus, la réglementation n’existe pas. S’il en existe, c’est qu’il s’agit de celle élaborée sur le coup par les parieurs.
En Inde, cet important pays du Moyen-Orient, il arrive souvent que des Hommes vendent d’autres Hommes. L’histoire de monsieur Binod Kumar Shah ne va pas émouvoir plus que cela dans ce pays. Une autre femme était allée jusqu’à miser sa propre personne au cours d’un pari. Celle-ci est restée pendant 48 heures entre les mains du gagnant du pari humain. Il y a quelques mois, c’est un homme qui misait son fils d’à peine 3 ans. Les autorités l’ont condamné à faire des exercices de sports.
Malgré cela, madame Chandal Devi a porté plainte contre son mari. L’officier de police, Kumar Sunny, fait comprendre aux médias que des enquêtes sont en cours, et que la plainte a bien été déposée. Il affirme aussi que Chandal, qui était attendue pour fournir d’autres informations, a disparu de la circulation. Elle serait allée chez ses parents.
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