L’Australian Communications and Media Authority (ACMA) continue de lutter contre les jeux illégaux en réduisant considérablement le nombre des sites concernés. De ce fait, l’organisme a demandé que les fournisseurs de services Internet (FAI) australiens bloquent l’accès à ces plateformes dans le but de protéger les utilisateurs.
Des offres non conformes aux règles en vigueur
À la suite d’investigations concernant le marché du jeu illégal, l’ACMA a demandé aux fournisseurs de services Internet de stopper l’accès aux sites de jeux illégaux. L’organisation estime que ces prestations ne fonctionnent pas en accord avec les termes de l’Interactive Gambling Act 2001. La liste renferme diverses activités illégales dont la fourniture de services de jeux interactifs proscrits par la loi comme les casinos en ligne ou les machines à sous fournis aux clients australiens. Il y a également les services de jeux interactifs sans licence valide incluant les paris en ligne qui nécessitent une licence australienne certifiée. Le blocage s’applique aussi à la diffusion des campagnes publicitaires impliquant des services de jeux interactifs interdits ou réglementés sans aucune autorisation au préalable.
Parmi les derniers sites bloqués, la sélection se compose de Dundee Slots, Jogi Casino, Lucky Hunter, Lucky Wins, Lukki Casino, Spin Fever, Clubhouse Casino et Winport Casino. La première demande de blocage de l’ACMA date du mois de novembre 2019. En tout, 975 sites de jeux illégaux et affiliés ont été immédiatement bloqués via cette initiative. De plus, plus de 220 services illicites ont quitté le marché australien depuis l’application des normes touchant les jeux illégaux offshore. L’ACMA a enregistré ces résultats grâce entre autres à la Coupe du monde féminine.
Au mois de mars 2024, l’ACMA a bloqué plusieurs sites illégaux comprenant, par exemple, Lucky7even, 50 Crowns et Zota Bet. Des avertissements à l’égard des opérateurs ont été aussi émis par l’autorité de régulation en raison de violations à une partie de l’Interactive Gambling Act 2001. Ces acteurs concernés se composent de Mad Entertainment (Golden Lion), Dama, Friolion (Betibet) et Palima Media (Thunderpick).
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