Nous avons l’habitude d’annoncer des actualités à-propos des machines à sous virtuelles ou encore sur l’état financier des groupes œuvrant dans le secteur du pari. Nous allons vous parler aujourd’hui d’un jeu, le poker. Ce divertissement possède encore un grand nombre d’adeptes dans les établissements de paris virtuels, et surtout dans les casinos classiques. Avec un Bad Beat, un individu a pu forcer la chance au poker et a aidé chaque personne présente sur le lieu à acquérir une jolie somme d’argent.
L’évènement s’est déroulé à Montréal dans une salle de poker nommé Playground Casino il y a quelques jours seulement. Elphege Delarosbil est un amateur de poker et rien n’a laissé présager ce jour-là qu’il allait obtenir un gain important à son divertissement favori. Le parieur misait uniquement en cash-game aux blindes avec 1/2 $. C’était la mise la plus faible pour participer à la partie. Delarosbil a alors perdu son tapis face au participant Shane Galle avec une quinte flush à la river. Perdre avec une main aussi forte qu’un carré de valet a aidé Elphege Delarosbil à obtenir 460 149 $. Quant à Galle, il a reçu 230 088 $ pour la main miracle.
Un bad beat payant !
Le bad beat jackpot est un événement qui récompense un parieur ayant perdu avec une main improbable. Chaque établissement dispose d’une règle différente lorsque le phénomène se produit. Dans certains cas, ce sont les participants autour de la table uniquement qui reçoivent un gain. Mais bonne nouvelle pour les habitués du Playground Casino puisque le règlement de l’établissement prévoit que tous les individus présents dans la salle reçoivent une récompense à ce moment-là. Ainsi, chaque parieur a pu empocher 1 224 $ de la part de l’opérateur pour avoir été présent au bon moment et au bon endroit.
Ce bat beat a permis à l’ensemble des parieurs dans la salle de se partager 1,2 million de dollars. C’est un jackpot qui bat les autres records qui ne dépassait même pas les 800 000 $. Ce pactole a été caractérisé par le fait qu’il provient d’une table basse limite. La plupart des habitués du casino Playground ne sont pas des professionnels et ce sont des amateurs avec des revenus modestes. L’obtention de la somme provenant du bad beat était donc une grande aubaine pour les membres du club. C’est pour ce genre d’opportunité unique que les établissements physiques ne désemplissent pas jusqu’à maintenant.
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