En France, la FDJ et la Fondation du Patrimoine s’associent pour restaurer YMCA Paris. Il s’agit en réalité d’un vieux site chargé d’histoire qui a été créé depuis 1893. Aujourd’hui, le site aurait laissé place à des installations sportives et abriterait le plus vieux site de basketball au monde. Le don des deux sociétés est de 1,26 million de dollars et il est destiné à servir à remettre à neuf le vieux site. Cette initiative fait partie d’un programme nommé Mission Patrimoine lancé par la FDJ il y a quelque temps de cela.
Les deux sociétés ont fait un don d’un montant de 1,26 million de dollars pour la restauration
FDJ (la Française Des Jeux) est le principal opérateur de la loterie nationale française. En association avec la Fondation du Patrimoine, les deux entreprises ont décidé de faire un don pour restaurer le site de YMCA Paris. Le don en question est estimé à hauteur de 1,26 million de dollars et contribuera à rendre sa splendeur au site.
YMCA Paris est site chargé de plusieurs décennies d’histoire. Situé sur la rue de Trévise, le bâtiment est le gîte des travailleurs et des étudiants qui viennent s’installer à Paris. Ce bâtiment possède également de nombreuses installations sportives et le plus vieux terrain de basket au monde.
Ce n’est donc pas pour rien qu’il est considéré comme un site culturel dont il faut préserver. Pour rappel, c’est en 1893 que le site a ouvert ses portes. En plus d’être un établissement culturel, il s’agit aussi de l’un des plus vieux sites au monde. Au fil des décennies, le site a perdu de sa splendeur et a urgemment besoin de soin pour ne pas tomber en ruine.
C’est dans cette optique que la Fondation du Patrimoine et la FDJ se sont associées pour restaurer le site. Leur don servira à revitaliser et à restaurer l’ancien site. Cette initiative a été lancée conformément à la journée européenne du Patrimoine. Il faut donc s’attendre à ce que les travaux de restauration débutent dans les prochaines semaines.
YMCA Paris a été affaibli par le temps
Si dans le pire des cas YMCA Paris venait à s’écrouler sous le coup de l’âge, c’est plus d’un siècle de l’histoire de la France qui partira avec elle. En effet, le temps n’a pas fait de cadeau au site culturel qui se trouve désormais en piteux états. Heureusement que des entreprises comme la FDJ et la Fondation du Patrimoine existent et qu’ils ont bien voulu donner un coup de main pour sauver des décennies d’histoire.
Charles Lantieri est l’adjoint général de la FDJ, il a déclaré que ce fut un réel plaisir pour eux de participer à la restauration de l’ancien. Il a également précisé que les employés et tous les collaborateurs de l’entreprise pour laquelle il travaille sont eux aussi ravis et ont témoigné leur engagement pour le projet.
Charles a aussi ajouté que ce projet va renforcer leur lien avec les sports tel que le basket. D’ailleurs, la FDJ soutient la fédération nationale de basket depuis plus de 10 ans déjà. Célia Vérot est quant à elle directrice de la Fédération du Patrimoine.
Cette dernière a insisté sur le fait qu’en plus d’être un patrimoine historique, YMCA Paris est également un patrimoine culturel qui joue en plus un rôle fonctionnel et social. La directrice Célia s’est dit être également heureuse de participer à la restauration du bâtiment et ainsi participer à la protection du patrimoine culturel français.
Il y a peu de temps de cela que la FDJ a lancé sa Mission Patrimoine qui a pour but de collecter des fonds qui seront dédiés à la protection et à la restauration des patrimoines français chargés d’histoire. Dans sa stratégie, la loterie nationale avait lancé des promotions pour les cartes de loterie à gratter. Une partie des bénéfices serait ensuite versée pour soutenir la cause.
Le projet de restauration de YMCA Paris s’inscrit comme étant le cinquième projet de la FDJ qui continue d’ailleurs à soutenir tout projet lié à la conservation du patrimoine. Parallèlement, la FDJ a publié ses résultats semestriels pour 2022. Les données démontrent que la FDJ conserve des résultats dynamiques et la société reste optimiste pour l’avenir.
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